A PROPOS DE L'HOMÉOPATHIE
Définition
L'homéopathie n'est pas une médecine « traditionnelle » et tout a été dit et redit à son sujet.
Depuis son invention en 1810 par le médecin allemand Samuel Hahnemann, l’homéopathie a été en butte aux plus vives critiques de la part des tenants de la médecine officielle.
Aussi, pour faire le point et démêler le vrai du faux, faisons un tour d'horizon des principaux avantages, limites et écueils de cette « médecine douce » très souvent utilisée.
Principe
Le principe de l'homéopathie est simple : administrer des substances minérales, végétales ou animales très diluées et dynamisées qui annulent les symptômes qu’aurait provoqué une intoxication à ces substances.
Avantages
L'homéopathie ne peut pas suppléer une thérapie traditionnelle. Elle peut compléter un traitement mais ne peut pas le remplacer. Aussi, elle ne pourra traiter certaines pathologies ou affections comme :
Effets secondaires
L'homéopathie ne provoque aucun effet secondaire ni toxicité. Cependant, certaines formes, notamment les granules, peuvent contenir du lactose ou du saccharose et peuvent avoir un effet sur les personnes intolérantes à ces substances.
Automédication
En aucun cas vous ne devez utiliser l'homéopathie en automédication : l'homéopathie reste un traitement à part entière et ne doit pas être considérée comme un traitement « à la légère ».
Débat autour de l'homéopathie
Cette médecine compte nombre de détracteurs au sein de la communauté scientifique.
Depuis 2006, une enquête à grande échelle rassemblant 825 médecins généralistes de tous horizons (allopathes et homéopathes) et 8559 de leurs patients.
Cette étude a été pilotée par un comité scientifique indépendant de 12 experts reconnus dans leurs domaines, que l’on peut difficilement soupçonner de partialité en faveur de l’homéopathie, puisqu’il compte des personnalités comme le Pr Lucien Abenhaïm, ancien directeur général de la santé, le Pr Bernard Begaud, pharmacologue et chercheur à l’Inserm, ou encore le Pr Didier Guillemot, de l’Institut Pasteur.
Premier enseignement de ce programme : les médecins généralistes ont davantage recours aux granules qu’on ne le soupçonnait.
A côté de ceux qui se déclarent homéopathes (environ 3%) et des partisans « purs et durs » de la médecine conventionnelle, on distingue un troisième groupe de praticien qui mixe volontiers les traitements : 20 % des généralistes considérés comme allopathes prescrivent des granules au quotidien.
UNE EFFICACITE EQUIVALENTE…
L'homéopathie n'est pas une médecine « traditionnelle » et tout a été dit et redit à son sujet.
Depuis son invention en 1810 par le médecin allemand Samuel Hahnemann, l’homéopathie a été en butte aux plus vives critiques de la part des tenants de la médecine officielle.
Aussi, pour faire le point et démêler le vrai du faux, faisons un tour d'horizon des principaux avantages, limites et écueils de cette « médecine douce » très souvent utilisée.
Principe
Le principe de l'homéopathie est simple : administrer des substances minérales, végétales ou animales très diluées et dynamisées qui annulent les symptômes qu’aurait provoqué une intoxication à ces substances.
Avantages
- Traitement simple et facile à suivre
- Peut être utilisée pour des nourrissons et jeunes enfants .
- Pas d' effets secondaires ou très rarement
- Pas de contre indications
- Bonne tolérance au traitement
- Remboursé par la Sécurité Sociale
- On peut l'associer à d'autres traitements
- Pas de risques d' accoutumance ou de dépendance
L'homéopathie ne peut pas suppléer une thérapie traditionnelle. Elle peut compléter un traitement mais ne peut pas le remplacer. Aussi, elle ne pourra traiter certaines pathologies ou affections comme :
- les infections aiguës mettant en jeu le pronostic vital
- les accidents cardiaques
- les troubles digestifs graves
- les malaises dus au diabète ou à des maladies graves.
Effets secondaires
L'homéopathie ne provoque aucun effet secondaire ni toxicité. Cependant, certaines formes, notamment les granules, peuvent contenir du lactose ou du saccharose et peuvent avoir un effet sur les personnes intolérantes à ces substances.
Automédication
En aucun cas vous ne devez utiliser l'homéopathie en automédication : l'homéopathie reste un traitement à part entière et ne doit pas être considérée comme un traitement « à la légère ».
Débat autour de l'homéopathie
Cette médecine compte nombre de détracteurs au sein de la communauté scientifique.
Depuis 2006, une enquête à grande échelle rassemblant 825 médecins généralistes de tous horizons (allopathes et homéopathes) et 8559 de leurs patients.
Cette étude a été pilotée par un comité scientifique indépendant de 12 experts reconnus dans leurs domaines, que l’on peut difficilement soupçonner de partialité en faveur de l’homéopathie, puisqu’il compte des personnalités comme le Pr Lucien Abenhaïm, ancien directeur général de la santé, le Pr Bernard Begaud, pharmacologue et chercheur à l’Inserm, ou encore le Pr Didier Guillemot, de l’Institut Pasteur.
Premier enseignement de ce programme : les médecins généralistes ont davantage recours aux granules qu’on ne le soupçonnait.
A côté de ceux qui se déclarent homéopathes (environ 3%) et des partisans « purs et durs » de la médecine conventionnelle, on distingue un troisième groupe de praticien qui mixe volontiers les traitements : 20 % des généralistes considérés comme allopathes prescrivent des granules au quotidien.
UNE EFFICACITE EQUIVALENTE…